Jérica

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Jérica

Jérica fut reconquise en 1236 par Jacques Ier d'Aragon qui, en 1255 créa la Seigneurie de Jérica pour son fils Jaime. La disparition, en 1369, de la Seigneurie cède le pas à la création du Comté de Jérica, en 1372, en faveur de l'Infant Don Martín, fils de Pierre IV d'Aragon « Le Cérémonieux ». La deuxième ceinture de murailles date de cette époque. En 1479, la cité rejoint définitivement la couronne royale. Une troisième ceinture a alors déjà été construite. En 1570, les Augustins fondent le couvent d'El Socós. À partir de ce moment commence une époque de décadence qui culmine par la sécularisation des couvents, la domination française… Jérica a actuellement commencé un important travail de restauration et de conservation de son patrimoine.

Environnement social

L'activité économique prédominante est ici l'agriculture et tout spécialement la culture des oliviers et des arbres fruitiers, avec une importante présence de l'élevage. L'industrie fait ses débuts, accompagnée d'un large secteur de services qui complète l'éventail économique de la localité.

Parcours urbain

Tour del Homenaje, ruines du château, ermitage de San Roque, tour Mudéjar de las Campanas, porte de San Roque, porte de la Sala, porte de San Juan , tour à la place San Juan, porte de San Joaquín et Santa Ana, ruines de Muraille, église du couvent de Socós, fontaine de Santa Águeda, arc de la Rocha del Hospital, église du Cristo de la Sangre, couvent de Capuchinos, ruines du troisième périphérique de la muraille, église de Santa Agueda, ermitage de la Virgen del Loreto, ermitage de la Virgen de los Desamparados, Pont de l'évêque Muñatones, croix couverte, tour de la Garabaya, ermitage de Santa Bárbara.

Paysage

Village montagneux dont le sol est constitué de roche mésozoïque de nature principalement carbonatée, datant des périodes Triasique, Jurassique et Crétacée. Le climat, l'orographie, la variété des matériaux géologiques, associés à l'influence de la Méditerranée, expliquent la présence d'une végétation particulière, qui correspond à celle d'autres zones de la région présentant les mêmes caractéristiques.